adn et destinée
Génétique et sélection des êtres humains par le Pr. Jacques Testart et Les jumeaux dans la mythologie par Bernard Sergent.
Faculté de Droit St-Serge - 13, allée Fr. Mitterrand, Angers.
Entrée libre.
Extrait de la conférence de Jacques Testart :
Bienvenue à Gattaca (102 min) d'Andrew Niccol avec présentation et débat.
Cinéma 400 coups, 12, rue Claveau, Angers, tél. : 02 41 88 70 95
Tarifs habituels aux 400 Coups : 7 €, réduit 5,80 €, carnets 4,90 € ou 4,30 €
Groupes, sur réservation auprès des 400 Coups (gratuité pour les accompagnateurs) :
4,30 € le lundi soir.
Documentaire : Pisté par nos gènes.
Espace Welcome - 4, place Maurice Sailland, Angers.
Entrée libre.
Documentaire : Pisté par nos gènes.
Cinéma Le Maingué - Place du port, Segré.
Entrée libre.
L'approche éthique du déterminisme génétique : un bien ou un mal ? par le Dr. Renaud Clément, du CHU de Nantes.
Approche mythologique par Raymond Delavigne.
Cinéma Le Maingué - Place du port, Segré.
Entrée libre.
Projection de la conférence de J. Testart, du 9 octobre à Angers.
Cinéma Le Maingué - Place du port, Segré.
Entrée libre.
Bienvenue à Gattaca (102 min) d'Andrew Niccol avec présentation et débat.
Cinéma Le Maingué - Place du port, Segré
Tarifs
: 6,20 €, réduit : 5,20 € (carte cézam, - 16 ans, étudiants, retraités, demandeur d'emploi, commerçants partenaires), jeunes : 4,50 € (- 13 ans, pass culture sport).
Documentaire : Pisté par nos gènes.
Théâtre Bouvet-Ladubay,
rue Jean Ackermann,
St-Hilaire-St-Florent.
Entrée libre.
Les jumeaux dans la mythologie - approche bio-éthique par Bernard Sergent.
De la bioéthique au sens de l'existence par le Dr Martine Cottier.
Théâtre Bouvet-Ladubay, rue Jean Ackermann, St-Hilaire-St-Florent.
Entrée libre.
Projection de la conférence de J. Testart, du 9 octobre à Angers.
Théâtre Bouvet-Ladubay, rue Jean Ackermann, St-Hilaire-St-Florent.
Entrée libre.
Bienvenue à Gattaca (102 min) d'Andrew Niccol avec présentation et débat.
Cinéma Le Palace - 13, quai Carnot, Saumur
Tarifs habituels.
Commentaire
Scénariste de The Truman show , réalisateur de S1mOne et de Lord of war, A. Niccol est un auteur inspiré qui s'interroge avec acuité sur les dérives possibles de notre société.
Avec la notion d’empreintes génétiques, on est passé de la filiation à la filature.
Jean-Jacques Moscowitz
Le titre du film, GATTACA, évoque une séquence, récurrente dans le génome humain, des quatre nucléotides constituants de l'acide désoxyribo-nucléique, plus connu sous le nom d'ADN : la Guanine, l'Adénine, la Thymine et la Cytosine. Autant dire que la génétique est au cœur de ce film qui, par-delà la science-fiction, ouvre un débat tout à fait actuel.
On peut y lire, dans une société qui actualise celle du Metropolis de Fritz Lang, le recours à des technologies de plus en plus performantes pour soumettre le citoyen à des intérêts économiques et policiers. Vincent par contre affirme la toute-puissance de la volonté qui, conformément au mythe américain permet de s'afficher en "homme libre", freeman, puisque c'est ainsi qu'il se nomme.
Dans quelle mesure est-on défini par son patrimoine génétique, et peut-on échapper à son "destin" ? Une question que partagent celui qui se sent concerné par les nouvelles technologies du vivant, et le héros de bien des récits légendaires empruntant le chemin de la vie.
Thèmes mytho-légendaires
Cependant, les fées commencèrent à faire leurs dons à la princesse. La plus jeune lui donna pour don qu'elle serait la plus belle personne du monde ; celle d'après, qu'elle aurait de l'esprit comme un ange ; la troisième, qu'elle aurait une grâce admirable à tout ce qu'elle ferait (...) Le rang de la vieille fée étant venu, elle dit, en branlant la tête avec plus de dépit que de vieillesse, que la princesse se percerait la main d'un fuseau, et qu'elle en mourrait ...
Charles Perrault
Vincent est gratifié d'un génotype qui définit son parcours vital ; le généticien pour lui incarne l'antique fatum, les Parques ou les fées. Autres temps, autres fatalités. Oedipe a dû tuer son père et épouser sa mère, Arthur était voué à devenir roi, et saint Dominique était dès le ventre maternel investi de sa mission.
Aujourd'hui, comme l'écrit J. Testart, la "carte génétique" apparaît "comme une forme sophistiquée de carte d'identité, permettant non seulement de définir chaque personne, devenue transparente jusqu'à l'intimité de son ADN, mais de la faire aussi prévisible en lui attribuant un destin probable selon ses caractéristiques".
Ainsi le désir de l'individu se trouve confronté au déterminisme ou à la volonté des dieux. Et il lui faut déjà se connaître, savoir qui il est. Lancelot, le "beau trouvé", chevauche longuement après son nom, de même que, sur les mers, Ulysse qui dit s'appeler "Personne". C'est en usurpant l'identité d'un autre (dont le second prénom est Eugène, le "bien né") que Vincent, la tête dans les étoiles, s'invente une histoire, un avenir, tout comme Zeus emprunte les traits d'Amphitryon, et Uther Pendragon ceux de Gorlois, pour séduire Alcmène et Igraine, et donner naissance à Héraclès et à Arthur.
Vincent est aussi "Anton", tout comme son frère ou son père, et il devient Jérôme. Là intervient l'ambiguïté, et la duplicité. Le personnage se dédouble : il est à la fois lui-même et son frère, et encore lui-même et Jérôme. Et l'on rejoint un vieux thème mythologique où deux personnages porteurs d'une même hérédité, et souvent presque du même nom, empruntent des chemins divergents et s'opposent tout en se complétant. Même si ce n'est pas toujours rigoureusement le cas, ces personnages sont souvent décrits comme des "jumeaux". On insiste ainsi sur le lien organique qui se tisse entre eux.
En ce sens, Bienvenue à Gattaca présente deux couples :
Vincent et Anton, liés par la même filiation, mais dont les destins sont dès la naissance différents. Les frères finissent par se rejoindre. Ils entrent alors en compétition, Anton cherche à traquer Vincent et celui-ci, rejetant son infériorité, l'abandonne aux flots de la mer pour s'élever dans les airs.
La reine Bellissant, fuyant d’odieuses calomnies, quitta Constantinople et partit pour Paris demander asile à son frère, le roi Pépin. Arrivée dans la forêt d’Orléans, elle mit au monde deux enfants. Mais elle vit surgir une ourse énorme qui emporta l'un des jumeaux, et la reine la poursuivit vainement. A son retour son autre jumeau avait disparu : le roi Pépin, chassant par là, avait découvert le nouveau-né et l'avait emmené au château. C'est ainsi que Valentin devint le plus valeureux des chevaliers du royaume tandis qu'Orson était élevé par l'ourse. Valentin décide de mettre hors d'état de nuire ce sauvage. Il le débusque, se bat avec lui et finit par le capturer. L'arrivée de cet être fruste, nu et velu, à la cour fait sensation. Orson fait rapidement des conquêtes auprès des femmes. On le rase, on l'habille, on le baptise. Puis il vit avec Valentin de nombreuses aventures. Ils découvrent ainsi qu’ils sont frères. Valentin finit ses jours au palais de Constantinople tandis qu'Orson se fait ermite.
Histoire de Valentin et Orson
Vincent et Jérôme, solidaires de par l'échange de leurs patrimoines génétiques et rattachés l'un à l'autre par l'ADN comme par l'hélice de l'escalier qui fait communiquer leurs appartements. Tandis que l'un, théoriquement mieux loti mais dépressif, éternel second avec sa médaille d'argent, devient homme sauvage, tapi dans son antre, sans autre lien social que l'alcool, l'autre fait le chemin inverse et s'envole, laissant son alter ego rivé au sol, réduit en cendres.
Dans les deux cas, l'opposition entre les personnages se fait en termes de verticalité : Vincent s'inscrit résolument dans une perspective ascensionnelle, aspirant à s'élever au-dessus des autres, et jusqu'à la planète Titan. Son nom lui même le désigne comme un "vainqueur" ( vincens en latin) et on place volontiers ce prénom sous le signe de l'indépendance, de l'élitisme et du refus de l'échec .
Les noms de Jérôme et d'Anton (Antoine) par contre évoquent deux figures de saints ermites, qui choisirent la mortification, le refus de la tentation ; ils restent attachés à la terre et Jérôme, souvent filmé en plongée, souligne la petite taille à laquelle le condamne son handicap. L'un s'enfonce dans les eaux, l'autre disparaît dans les flammes, mais c'est ce dernier qui, du même coup, semble propulser la fusée et projeter Vincent dans l'espace.
Il ne faut pas oublier non plus que les Dioscures sont les patrons des marins, et que l'histoire des jumeaux est souvent associée à l'océan. Vincent vient effectivement de la mer, puisqu'il a été conçu sur la "riviera", et la mer est l'élément qui rassemble les deux frères et les révèle à eux-mêmes dans la compétition. C'est de la mer que vient l'ex-champion de natation Jérôme. Et c'est en bordure de mer que Vincent s'affirme en s'unissant avec la "femme".
Celle-ci s'appelle lrene, autrement dit la "paix", et elle opère malgré elle le lien entre les trois hommes, secondant Anton, embrassant Jérôme et surtout aimant et guidant Vincent qu'on la voit suivre (des yeux) dès l'ouverture du film. Son nom rime avec celui d'Hélène, la sœur des Dioscures. Et il n'est pas indifférent qu'elle s'appelle aussi Cassini, comme la sonde lancée vers Saturne en 1997, l 'année même de la production du film. C'est elle qui permet d'accéder aux espaces supérieurs, par-delà le tunnel.Alors la reine le prend par la main et lui demande où il est né ? Quant il sent cette main contre la sienne, il tressaille de tout son corps, comme s’il s’éveillait (…) Il la regarde très humblement et dit en soupirant qu’il ne le sait pas. Elle lui redemande quel est son nom, et il dit qu’il ne le sait pas...
Lancelot du Lac
Tel est bien le rôle traditionnellement dévolu à la passeuse, à la femme initiatrice, qui sait remotiver le héros lorsque, risquant de s'attacher à elle, il hésite un instant. La nuit d'amour est de fait visuellement présentée comme un renversement, qui permet à Vincent d'assumer son vrai nom, et c'est bien à la mythique "union avec la Dame" que l'on assiste.
A relever encore dans le film le rôle du sang comme facteur d'identité et d'échange, et celui des doigts. Avec la citation de Nuages dans la scène du restaurant, alors que l'on parle de la planète Titan, une discrète allusion est faite à Django Reinhardt, le guitariste virtuose auquel il manquait deux doigts. Et l'on découvre en regard un pianiste doté de 12 doigts : opposition d'un atout génétique et d'une volonté à dépasser sa condition ; peut-être aussi une allusion au dieu celte Lugus, dit "à la longue main". Et ceci pourrait bien nous ramener au thème des jumeaux.
identité et gémellité
Le phénomène de la gémellité a toujours flatté l'imagination, et les "jumeaux" tiennent une grande place dans toutes les mythologies. Ils posent la question de l'identité dans la double acception du terme. Car si l'identique est la copie, c'est la différence qui fonde l'identité : comment revendiquer une existence autonome si l'on est semblable ? Les jumeaux ont été les premiers à poser la problématique du clonage.
On sait que seuls les vrais jumeaux disposent en fait du même patrimoine génétique. Ils ont a priori les mêmes chances dans la vie. Ils se définissent cependant l'un par rapport à l'autre, chacun suivant son propre apprentissage, et leurs parcours sont inévitablement distincts. C'est encore plus vrai s'il s'agit de faux jumeaux, voire de simples frères ou de personnages associés que seule la tradition semble présenter comme "jumeaux".
Ainsi en est-il des Dioscures, simultanément enfantés : Pollux est réputé fils de Zeus, qui s'est uni à Léda sous la forme d'un cygne, tandis que Castor aurait été engendré le même jour, et maritalement, par Tyndare. Seul Pollux donc était immortel ... Il en va de même pour Héraclès et Iphiclès, fils jumeaux d'Alcmène et respectivement de Zeus et Amphitryon.
Les récits insistent bien sûr sur la ressemblance et sur les affinités qui lient le sort des deux jumeaux. Mais ils s'attachent surtout à montrer ce qui les oppose : Jacob a la peau lisse et est casanier, Esaü est velu et va par les champs et les bois ; Remus défie Romulus qui le tue ; Prométhée est le "prévoyant", et il répare les effets de l'insouciance d'Epiméthée ; Cerridwen, dans la mythologie celtique, accouche d'une fille très chanceuse et d'un garçon à qui il arrive les pires malheurs ...
Car il peut aussi s'agir de jumeaux d'un sexe différent qui bien sûr ne se ressemblent pas, mais dont les fonctions sont tout aussi indissociablement liées : Apollon et Artémis tuent ensemble le géant Tityos, et Homère rapporte que lui donnait la mort aux hommes et elle aux femmes ; Isis et Osiris, sont, comme bien des dieux fondateurs, à la fois jumeaux et époux ; et ne peut-on pas considérer Adam et Eve comme frère et sœur, ou plutôt Eve n'est-elle pas un clone d'Adam, issue de sa côte ?
Ainsi, en allant jusqu'à l'assassinat de l'autre ou à l'inceste, les jumeaux peuvent représenter la complémentaire polarité du bien et du mal, du civilisé et du sauvage, du sédentaire et du chasseur, du diurne et du nocturne, de la paix et de la guerre, du ciel et de la terre. Autant dire qu'ils incarnent la fondamentale dualité de l'homme, divisé en lui-même et aspirant à se reconstituer.
Successeurs des dieux, les saints chrétiens proposent aussi de nombreux exemples de jumeaux : Côme et Damien, patrons des médecins, Gervais et Protais, Crépin et Crépinien, patrons des cordonniers, ou Derrien et Neventer qui terrassent un dragon en Bretagne.
Daniel Gricourt s'est particulièrement intéressé aux saints Lugle et Luglien, révérés dans le nord de la France. Et il pense reconnaître dans ces figures une survivance des anciens dieux celtes Lugus et Cernunnos, que l'on retrouverait au Pays de Galles sous les noms des jumeaux Lleu et Dylan. La dualité de ces couples se manifesterait, dans l'établissement des cités, par l'opposition entre le centre, le lieu sanctifié, dédié au dieu civilisateur Lugus, et la périphérie, consacrée au dieu rustique Cernunnos. Elle opposerait aussi bien l'aube et le crépuscule, ou l'alternance de l'été, "qui voit le triomphe saisonnier de Lugus sur son frère", et de l'hiver.
Ainsi se confirme la nécessaire complémentarité des jumeaux : la détermination biologique ne doit pas, et ne peut pas exclure la diversité. Chacun apporte sa propre contribution : Vincent, dans le film, aurait-il atteint son but sans la compétition avec Anton et sans le soutien de Jérôme ? Pourtant, même si elle n'est pas inscrite dans les gènes, ne demeure-t-il une inégalité des chances entre celui qui fut conçu par un dieu et qui est destiné à l'immortalité, et son frère, mortel, rivé au sol, entre l'enfant élevé au palais et celui qui a grandi dans la forêt ?
Les jumeaux en Anjou
L'histoire du saint Florent angevin a été rattachée à celle de Florian, le saint patron de l'Autriche. Elle participe ainsi du thème mythologique des jumeaux.
Condamné avec son frère Florian à être noyé dans l'Enns, il est délivré par un ange alors que Florian est conduit au martyre. Florent vient jusqu'en Gaule rejoindre saint Martin et participer à son oeuvre d'évangélisation. Il fonde un monastère sur le Mont Glonne (aujourd'hui St-Florent-le-Vieil), et c'est à St-Hilaire-St-Florent que son œuvre sera perpétuée.
Le parcours de Florent se distingue de celui de son doublet biologique et phonétique : il s'établit sur un mont, au-dessus de l'eau, alors que Florian est jeté au fond du fleuve ; il vit 123 ans alors que son frère meurt jeune ...
Toute son histoire est liée à l'eau : celle de l'Enns, celle du Rhône dans lequel il risque de sombrer, celle de la Loire qu'il ne cesse de longer, entre le Mont Glonne et Marmoutier et d'où il sauve un enfant de la noyade. Son nom d'ailleurs, de la racine flos, fleur, n'évoque-t-il pas aussi le flot, le fleuve ?On vénère aussi, notamment, dans l'église St-Serge-St-Bach d'Angers, les saints jumeaux Médard et Godard, qui furent baptisés, ordonnés prêtres et sacrés évêques ensemble, et qui sont morts le même jour. Et l'on peut voir en la cathédrale d'Angers un vitrail représentant saint Sérené, en fait Céneré qui fut ermite à Saulges tandis que son frère Céneri l'était à St-Céneri-le-Géréi.
N'oublions pas non plus, en aval, les saints patrons de Nantes et des mariniers de Loire : Donatien ("celui qui donne") et Rogatien ("celui qui demande"), lesquels connurent ensemble le martyre, mais dont l'un était baptisé, l'autre pas.
Les intervenants : jacques testart & Bernard Sergent
Jacques Testart
Biologiste, directeur de recherche à l'Inserm, le professeur Testart s'est consacré aux problèmes de procréation naturelle et artificielle chez l'animal et l'homme. Il est le père scientifique d'Amandine, le premier bébé éprouvette français né en 1982. Chercheur engagé, il s'affirme comme le défenseur têtu d'une science contenue dans les limites de la dignité humaine et de la démocratie réelle. Autant de prises de positions scientifiques et éthiques qu'il expose dans de nombreux articles de presse et ouvrages.
Bernard Sergent
Historien, archéologue et mythologue, chercheur au CNRS, président de la Société de Mythologie Française, Bernard Sergent est également diplômé en anthropologie biologique. Elève de Georges Dumézil, il s'est tout particulièrement consacré à l'étude des Indo-Européens.
Le film documentaire : pistés par nos gènes
Film de Philippe Borrel et Gilbert Charles, 52mn, diffusé sur France 5 (2007)
Grâce au décryptage du génome humain, les chercheurs et les firmes de biotechnologies sont capables d¹identifier au plus près les individus. Tels autrefois les dieux de l'Olympe, et tels bientôt les administrateurs de Gattaca, ils entreprennent de consigner les traits, aptitudes et carences de chacun. Dans quel dessein ?
biblio / Filmographie
Jacques TESTART, De l'éprouvette au bébé spectacle , 1984
Jacques TESTART, L'oeuf transparent . Flammarion 1986
Jacques TESTART, Des hommes probables. De la procréation aléatoire à la reproduction normative, 1999
Jacques TESTART et C. GODIN, Au bazar du vivant. Biologie, médecine, bioéthique sous la coupe libérale, Ed. du Seuil, 2001
Jacques TESTART, Le Vivant manipulé, Ed. Sand, 2003
Albert JACQUARD, Eloge de la différence, Seuil, 1978
Jacques TESTART, Eve ou la répétition, roman, Odile Jacob, 1998
Bernard SERGENT, Celtes et Grecs I. Le livre des héros , Payot, 1999 - II. Le livre des dieux, Payot, 2004
Bernard SERGENT, Les Indo-européens, Payot, Paris, 1995
Daniel GRICOURT, Le couple gémellaire Lugus-Cernunnos : antagonisme, alternances et complémentarité, Cahier numismatique , 2003
Quelques films sur la quête d'identité :
Les différentes adaptations de Docteur Jeckyll et Mister Hyde
La Mort aux trousses et Le Faux coupable, d'Alfred Hitchcock
Persona, d'Ingmar Bergman
sur l'opposition des frères/doubles :
Nue-Propriété, de Joachim Lafosse
Faux Semblants , de David Cronenberg
Volte-Face, de John Woo
Mother India, de Mehboob Khan